Celles liées à l'anxiété, par exemple, serait moins actives chez les méditants expérimentés que chez les novices.
« En observant simplement l'expérience de la douleur, le participant dissocie la réponse sensorielle (la douleur) de l'affective (le rejet, la fuite), elle devient plus gérable ».
Antoine Lutz, chercheur à l'Inserm de Lyon,
auteur de plusieurs études sur le « cerveau méditant.